Pour mieux soutenir l’équité et les opportunités dans l’enseignement supérieur à travers le monde, Google étend des crédits de recherche, d’enseignement et d’apprentissage Google Cloud à huit pays d’Afrique.
Les pays concernés par cette mise à jour sont : Afrique du Sud, Égypte, Ghana, Kenya, Maroc, Namibie, Nigeria, Sénégal et Tunisie. Avec l’ajout récent de cinq pays en Amérique latine, en Asie et dans le Pacifique, la communauté mondiale montrant un intérêt commun pour Google Cloud compte désormais 60 pays.
Comme l’explique l’entreprise américaine, cette action ainsi que d’autres qui la précèdent, s’inscrivent dans le cadre de ses efforts continus pour mettre les technologies en nuage à la disposition d’un plus grand nombre de personnes, partout dans le monde, et pour permettre des découvertes plus rapides.
Grâce à l’accès au Cloud, « les chercheurs peuvent faire davantage de découvertes et les étudiants peuvent acquérir de nouvelles compétences techniques pour les préparer à l’avenir ».
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Afrique It News rapporte que l’Université du Ghana (UG) a déjà déployé l’infrastructure intégrée de Google Cloud pour plusieurs projets clés. « Depuis 2010, elle utilise Google Workspace for Education pour fournir des adresses électroniques à tous les étudiants et professeurs. Cela a permis d’élargir les possibilités d’enseignement et d’apprentissage, d’autant que la pandémie mondiale a réduit les contacts personnels », souligne-t-on.
Pour commencer à enseigner avec Google Cloud, inscrivez-vous au programme Google Cloud Computing Foundations (GCCF). Le programme est « gratuit de 10 modules et 40 heures conçu pour donner aux enseignants les outils nécessaires pour enseigner des concepts essentiels tels que l’infrastructure, le développement d’applications, la gestion des données et l’apprentissage automatique à des étudiants ayant peu ou pas de connaissances en informatique en nuage ».
Notons que Google s’est engagé récemment à investir 1 milliard de dollars en Afrique au cours des cinq prochaines années, qu’il s’agisse d’améliorer la connectivité ou d’investir dans des start-ups. Le géant de la technologie a déjà aidé 6 millions d’Africains à acquérir les compétences numériques dont ils ont besoin pour développer leur carrière et leur entreprise.