WhatsApp est utilisé par 2 milliards de personnes chaque mois dans le monde. C’est un fait. Les chiffres sont là. Cette application de messagerie instantanée, de plus en plus épurée connait sans cesse du succès. Sur smartphone comme sur pc, le service est au top.
Elle a fini par créer une certaine dépendance dans l’évolution de plusieurs initiatives. Si , à la base cela aide plus d’un à communiquer, il est temps de se questionner. Que serions-nous si WhatsApp a une panne de 24 h. Celle survenue dans la matinée de ce 25 octobre suffit pour que chacun évalue un peu ses pertes.
Des pannes qui peuvent freiner
Adosser plusieurs initiatives externes à WhastApp pourrait être compliqué à gérer. Par illustration, de nombreuses banques font appel aux solutions de WhatsApp Banking. Avec le Whatsapp Banking, l’utilisateur a la possibilité de consulter son solde, l’historique de son compte, opérer des transactions monétaires via le mobile money et bénéficier d autres services non bancaires, etc.
La tendance est mondiale et la question est de savoir comment font-elles lorsque les pannes surviennent ? Que font les clients qui sont en train de lancer une importante transaction ?
Nous avons aussi le marketing WhatsApp. C’est un type de marketing de système de messagerie instantanée, qui est axé sur la promotion d’une marque via WhatsApp pour atteindre un public énorme, établir des relations solides avec les clients et surtout augmenter les ventes. Ceci dit, en un clin d’œil , de belles stratégies développées pour les marques peuvent se retrouver bloquées. Toutes les belles idées seront comme destinées à une corbeille le temps d’un retour à la normale.
Pendant ce temps, la popularité de WhastApp ne cesse de grandir. Or, ces pannes commencent par devenir récurrentes. On se rappelle qu’en octobre 2021, c’était les applications du groupe qui avaient été cessées de fonctionner pendant un moment. Les applications comme Facebook, Messenger, WhatsApp et Instagram, propriété du groupe Meta ont été toutes concernées.
Une chose est sûre : s’accrocher à tel ou tel réseau risque d’être dommageable pour le monde entier en cas de problème. Beaucoup de business en dépendent… Chaque réseau a aujourd’hui, ses alternatives. C’est peut-être là qu’il faut orienter la réflexion.
Avoir WhatsApp puis être sur Telegram, Signal serait mieux qu’un seul d’entre eux… Et pour ceux qui recherchent des alternatives africaines, il y a des réseaux sociaux comme Dikalo, Ondjoss et Myopinion notamment. Néanmoins, rien ne garantit qu’ils n’auront pas de pannes à leurs tours.
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