L’agence nationale spatiale sud-africaine (SANSA) et l’Agence spatiale algérienne (ASAL) ont signé un accord de collaboration sur le plan scientifique et technologique au centre international de Vienne, en Autriche. Cet accord a été officiellement signé entre Azzedine Oussedik, le directeur général de l’ASAL, et Andiswa Mlisa, la directrice générale de la SANSA.
Sur le plan technologique et scientifique l’Algérie n’est plus à présenter. Elle fait partie de ces pays ayant des capacités spatiales et des matériels en orbite autour de la terre. Détenteur de ces nouvelles compétences et d’équipement, le pays a jugé bon de se mettre dans cette coopération avec l’Afrique du Sud, un pays également à la hauteur de ces genres de projet. Ils vont tenter de réaliser des projets communs dont la mise en exécution de satellite.
La coopération entre les deux structures sœurs notamment l’ASAL d’Algérie et SANSA de l’Afrique du Sud sera pour elles l’occasion de mettre en place une cellule de réflexion sur les projets de développement dans les grandes temples de savoir des deux pays. Il s’agit de l’Université d’Oran en Algérie et l’Université de Stellenbosch en Afrique de Sud. Une mutualisation des efforts pour progresser dans les secteurs en question.
« Promouvoir la politique de la science et de la technologie spatiales, ainsi que des applications associées, et contribuer au développement du cadre juridique y afférent, en conformité avec les principes du droit international régissant ce domaine » a indiqué Oussedik Azzedine, le directeur général de l’Agence spatiale algérienne.
Il faut rappeler que l’accord qui a été paraphé entre les des agences spatiales au Centre international de Vienne, en Autriche, a été fait en dehors du symposium qu’a organisé le Bureau des Nations Unies pour les Affaires spatiales (UNOOSA) de 18 au 19 juin derniers.