Africa Data Centre (SADC), filiale du groupe Liquid Telecom ( connectivité Internet par fibre optique) a annoncé avoir étendu avec succès les capacités de stockage de ses centres de données en Afrique du Sud. Elle compte faire face aux défis d’archivage des informations sans cesse croissantes des entreprises africaines.
Les infrastructures localisées à Johannesburg et à Cape Town vont désormais jouer un rôle important face à la forte demande des consommateurs en capacités supplémentaires de stockage. Cette opération d’extension de capacité est estimée à plus de 100 millions de dollars US.
Nic Rudnick, le président directeur général du groupe Liquid Telecom, estime que « les solutions basées sur le cloud deviennent de plus en plus courantes, les entreprises africaines ont besoin de plus d’espace libre pour leurs données et applications critiques. Grâce à des investissements continus dans les centres de données en Afrique, nous fournissons les bases pour que les grandes entreprises et les fournisseurs de services cloud puissent venir et construire leur avenir numérique en Afrique ».
Le Data Center de Johannesburg dispose d’une capacité de plus de 3 000 mètres carrés d’espace pour les serveurs pour une puissance totale de 7 MW. Celui de Cape Town offre 1 800 mètres carrés d’espace avec 5,5 MW de puissance.
D’autres extensions sont prévues pour les cinq prochaines années. Africa Data Centers compte plus de 100 clients, y compris des opérateurs télécoms mondiaux, régionaux et locaux, des fournisseurs de services Internet, des fournisseurs de services cloud et de grandes entreprises.